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Chez les patients transplantés sous traitement immunosuppresseur, chez qui les réponses lymphocytaires T CD4 et CD8 sont défectives, le virus d'Epstein-Barr (EBV) est associé à un risque de lymphoproliférations malignes post-transplantation (PTLD). Ce risque est d'autant plus grand chez les enfants séronégatifs avant la greffe pour l'EBV, qui développent une primo-infection à EBV dans un contexte d'immunosuppression thérapeutique. La mise en place de stratégies efficaces de surveillance immuno-virologique post-transplantation, permettant la détection des patients à risques de développer un…mehr

Produktbeschreibung
Chez les patients transplantés sous traitement immunosuppresseur, chez qui les réponses lymphocytaires T CD4 et CD8 sont défectives, le virus d'Epstein-Barr (EBV) est associé à un risque de lymphoproliférations malignes post-transplantation (PTLD). Ce risque est d'autant plus grand chez les enfants séronégatifs avant la greffe pour l'EBV, qui développent une primo-infection à EBV dans un contexte d'immunosuppression thérapeutique. La mise en place de stratégies efficaces de surveillance immuno-virologique post-transplantation, permettant la détection des patients à risques de développer un PTLD, représente un enjeu majeur dans ce domaine médical. Le but de cette étude a été d'évaluer l'impact du traitement immunosuppresseur sur la génération d'une réponse T CD8 anti-EBV primaire ou mémoire, chez des patients séronégatifs ou séropositifs pour l'EBV avant la greffe, respectivement. Dans le cadre du suivi d'une cohorte de patients pédiatriques ayant reçu une transplantation de foie, un certain nombre de données ont été analysées,notamment l'évolution de la charge virale EBV et la réponse anti-EBV au cours des 15 mois suivant la greffe, en fonction de la sérologie pré-greffe du patient
Autorenporträt
Carole Leroy est ingénieur d'études à l'INSERM et coordinatrice d'études cliniques à l'AP-HP au CHU du Kremlin-Bicêtre. Elle a travaillé plusieurs années sur les risques de lymphomes liés à la transplantation hépatique chez l'enfant et sur la réponse immune au VIH. Aujourd'hui, elle travaille sur la sclérose en plaque (SEP) en neuropédiatrie.