13,99 €
inkl. MwSt.

Versandfertig in 1-2 Wochen
payback
7 °P sammeln
  • Broschiertes Buch

Le dernier pays du périple n'est pas le plus agréable à rencontrer ni le plus facile à vivre. l'Empire du Milieu, barricadé sur des siècles d'entre-soi, est entraîné dans un déclin inexorable. Assiégé par les puissances extérieures, il s'arc-boute sur un système surannée, corrompu et sclérosé. Le peuple innombrable, inculte, misérable, n'a jamais connu que le despotisme. La brutalité de cette humanité non dégrossie heurte la sensibilité des visiteurs européens du XIXe siècle autant que celle du lecteur d'aujourd'hui, qui n'en apprécie que mieux le chemin parcouru depuis. (Édition annotée)

Produktbeschreibung
Le dernier pays du périple n'est pas le plus agréable à rencontrer ni le plus facile à vivre. l'Empire du Milieu, barricadé sur des siècles d'entre-soi, est entraîné dans un déclin inexorable. Assiégé par les puissances extérieures, il s'arc-boute sur un système surannée, corrompu et sclérosé. Le peuple innombrable, inculte, misérable, n'a jamais connu que le despotisme. La brutalité de cette humanité non dégrossie heurte la sensibilité des visiteurs européens du XIXe siècle autant que celle du lecteur d'aujourd'hui, qui n'en apprécie que mieux le chemin parcouru depuis. (Édition annotée)
Autorenporträt
Joseph Alexander von Hübner, 26 novembre 1811, Vienne ; 30 juillet 1892, Vienne. Le petit Joseph Hafenbfädl, fils naturel de Maria Hafenbrädl, nièce d'un fournisseur de la cour, et du prince Clément Venceslas de Metternich, fut autorisé en 1833 à prendre les nom et titre de baron von Hübner. De bonne heure il marcha sur les traces de son père. Attaché puis secrétaire d'ambassade et enfin consul, il se forma dans plusieurs ambassades d'Europe avant d'être nommé ambassadeur d'Autriche à Paris, puis au Saint-Siège. Il est l'auteur de plusieurs ouvrages sur ses missions et ses voyages, autant d'aperçus précieux sur la vie diplomatique, mais aussi sur des pays peu ouverts à l'époque, qu'il visitait avec une curiosité insatiable, aussi à l'aise avec le dernier des coolies que dans les plus hauts cercles aristocratiques. Élevé au titre de comte en 1888, il fut une des figures politiques les plus en vue de la monarchie autrichienne.