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Seminar paper de l'année 2005 dans le domaine Didactique - Français - Litérature, uvres, note: sehr gut, Leopold-Franzens-Universität Innsbruck (Translationswissenschaft), langue: Français, résumé: N'hésitez pas à m'interrompre si vous n'avez pas compris quelque chose. Si, par contre, vous avez des questions vous pourrez me les poser à la fin de ma présentation. Partie 1 : l'arrière-plan historiqueCommençons donc par situer la pièce dans le contexte historique de l'époque. Reportons-nous par la pensée au dix-septième siècle, plus précisément en l'an 1670, à une époque dominée par le grand roi…mehr

Produktbeschreibung
Seminar paper de l'année 2005 dans le domaine Didactique - Français - Litérature, uvres, note: sehr gut, Leopold-Franzens-Universität Innsbruck (Translationswissenschaft), langue: Français, résumé: N'hésitez pas à m'interrompre si vous n'avez pas compris quelque chose. Si, par contre, vous avez des questions vous pourrez me les poser à la fin de ma présentation. Partie 1 : l'arrière-plan historiqueCommençons donc par situer la pièce dans le contexte historique de l'époque. Reportons-nous par la pensée au dix-septième siècle, plus précisément en l'an 1670, à une époque dominée par le grand roi Louis XIV, le « Roi Soleil ». imageEntrons dans le théâtre qui abrite de nos jours la Comédie-Française et que Monsieur, le frère du Roi, avait offert 12 ans plus tôt, en 1658, à un certain Molière, de son vrai nom Jean-Baptiste Poquelin, qui désirait s'établir à Paris pour représenter ses oeuvres devant la Cour du Roi. image Pour mieux comprendre la pièce, il faut nous concentrer sur le statut de la noblesse de l'époque : Celle-ci est en train de perdre peu à peu son rôle traditionnel qui consiste à cultiver et à financer les arts. En effet, les nobles, qui sont privés de tout pouvoir politique par un roi absolutiste, sont en plus criblés de dettes, résultat de leur vie de luxe et d'amusement, de sorte qu'il ne leur est plus possible de financer la vie artistique. La conséquence en est qu'ils doivent emprunter de fortes sommes d'argent aux bourgeois riches auxquels la culture importe peu.