Le Canon du campus (Série Campus, tome 3) - Sucevic, Jennifer
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Jennifer Sucevic, auteure de best-sellers au classement de USA Today, nous présente le prochain tome sensuel de la série Campus. Carson Roberts est le receveur le plus en vue de la Western University. Il a tout pour plaire. Un beau visage et des muscles sculptés, clairement. Une carrière de sportif universitaire, assurément. Un aller simple pour la ligue nationale de football après la fac, sans le moindre doute. Ai-je aussi précisé qu'il était le meilleur ami de mon frère, ce qui signifie que j'ai grandi à ses côtés et que je craque pour lui depuis tout aussi longtemps ? En un mot, une…mehr

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Produktbeschreibung
Jennifer Sucevic, auteure de best-sellers au classement de USA Today, nous présente le prochain tome sensuel de la série Campus. Carson Roberts est le receveur le plus en vue de la Western University. Il a tout pour plaire. Un beau visage et des muscles sculptés, clairement. Une carrière de sportif universitaire, assurément. Un aller simple pour la ligue nationale de football après la fac, sans le moindre doute. Ai-je aussi précisé qu'il était le meilleur ami de mon frère, ce qui signifie que j'ai grandi à ses côtés et que je craque pour lui depuis tout aussi longtemps ? En un mot, une décennie d'amour non réciproque. Mais ne vous inquiétez pas, je commence à me faire à l'idée qu'il ne me verra jamais autrement que comme la petite s¿ur qu'il n'a jamais eue. En quelque sorte. Et même s'il se rendait compte que j'ai pris des formes et que je ne porte plus d'appareil dentaire, Brayden piquerait une crise. Dès qu'un représentant de la gent masculine s'intéresse à moi, il devient surprotecteur. Jusqu'à présent, tous ceux qui se sont risqués à me jeter ne serait-ce qu'un coup d'¿il ont reçu une sévère correction. Et c'est précisément la raison pour laquelle je n'ai toujours pas perdu ma virginité. Comme si ce n'était pas déjà assez pathétique d'être une vierge de dix-neuf ans qui craque pour le meilleur ami de son frère, voilà que je lâche par inadvertance, à l'occasion d'une fête étudiante, que je me réserve pour lui depuis toutes ces années. Le pire, c'est que je ne peux même pas accuser l'alcool, puisque je ne bois pas. Et si vous pensiez que les choses ne pouvaient pas devenir plus humiliantes, vous vous mettriez le doigt dans l'¿il. Jusqu'au coude.