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En février 1848, la Monarchie de Juillet s'effondre. La Presse salue l'évènement. En échange, le Gouvernement provisoire de la Seconde République doit se plier à ses exigences : abolition de la censure, du cautionnement et de son impôt spécifique. Cela permet une augmentation incroyable du nombre de journaux et de feuilles politiques. Les pavés parisiens sont inondés de vendeurs à la criée. Idéologues en tout genre tentent de s'organiser pour diffuser leurs idées. En parallèle, des professionnels de longue date en profitent pour créer ou développer leurs journaux. Ils baissent les prix de…mehr

Produktbeschreibung
En février 1848, la Monarchie de Juillet s'effondre. La Presse salue l'évènement. En échange, le Gouvernement provisoire de la Seconde République doit se plier à ses exigences : abolition de la censure, du cautionnement et de son impôt spécifique. Cela permet une augmentation incroyable du nombre de journaux et de feuilles politiques. Les pavés parisiens sont inondés de vendeurs à la criée. Idéologues en tout genre tentent de s'organiser pour diffuser leurs idées. En parallèle, des professionnels de longue date en profitent pour créer ou développer leurs journaux. Ils baissent les prix de vente pour attirer des classes moyennes et populaires, devenus électeurs. Mais le nouveau régime déçoit en quelques mois les partisans de l'Ordre comme ceux du Progrès. En réaction aux Journées de Juin, des journalistes sont arrêtés, le cautionnement est rétabli. En décembre, de nombreux journaux se réjouissent donc de la défaite des candidats républicains et saluent la victoire de celui qu'ils appellent déjà "Napoléon". Nous proposons dans cette étude une analyse détaillée de la Presse pendant cette période, tant sur son contenu que sur son fonctionnement.
Autorenporträt
Né en 1986, Julien ELBAZ a étudié à Paris I Panthéon-La Sorbonne entre 2005 et 2012. Il est titulaire d'un master de recherche en Histoire contemporaine (2010) et d'un master "Métiers de l'enseignement" (2011).