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Ma recherche sur le discours des jeunes réfugiés palestiniens et français sur les violences vise d'un côté l'identification des processus de ces violences subies et de l'autre, les stratégies que ces jeunes déploient à l'échelle individuelle et/ou collective pour survivre et trouver une place dans la société. Les questions qui font l'objet de cette recherche sont les suivantes: Pourquoi parle t-on des violences? Que veut dire violences ? Toutes les violences sont-elles à égalité ? À quel moment agit-on avec violence ? Précisons qu'il ne s'agit pas ici de comprendre les causes ou la genèse de…mehr

Produktbeschreibung
Ma recherche sur le discours des jeunes réfugiés palestiniens et français sur les violences vise d'un côté l'identification des processus de ces violences subies et de l'autre, les stratégies que ces jeunes déploient à l'échelle individuelle et/ou collective pour survivre et trouver une place dans la société. Les questions qui font l'objet de cette recherche sont les suivantes: Pourquoi parle t-on des violences? Que veut dire violences ? Toutes les violences sont-elles à égalité ? À quel moment agit-on avec violence ? Précisons qu'il ne s'agit pas ici de comprendre les causes ou la genèse de la notion de violence, mais bien de s'interroger sur le problème que pose l'existence même des violences comme pratique sociale. Dans ce travail, je considère les violences comme un conflit au même titre que les autres conflits. En effet, les violences mettent aux prises des groupes sociaux ou des individus qui contestent,revendiquent, résistent ou se disputent les pouvoirs. Même si parfois on peut identifier une cause ou une conjoncture immédiate particulière à un acte de violence, celle-ci ne permet d'expliquer ou de prévoir avec certitude l'éclatement des violences.
Autorenporträt
Marie Kortam réunit la théorie et la pratique en sciences sociales, de part ses formations universitaires. Diplômée en doctorat de sociologie de l'Université Paris 7-Diderot en mars 2011. Elle est diplômée d'assistante sociale de l'Université Saint-Joseph au Liban, où elle a exercée plusieurs années à l'UNRWA auprès des réfugiés palestiniens.