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En Egypte, le canola a un bel avenir pour contribuer à réduire l'écart entre la production et la consommation d'huile comestible, en particulier il pourrait être cultivé avec succès pendant la saison d'hiver dans les zones nouvellement récupérées et en dehors de l'ancienne vallée du Nil pour contourner la concurrence avec d'autres cultures occupées par l'ancienne zone cultivée. La consommation de l'huile n'est pas censée être nocive pour les humains et le bétail, elle est également utilisée comme source de biodiesel.Les plantations de colza en Egypte sont généralement infestées par divers…mehr

Produktbeschreibung
En Egypte, le canola a un bel avenir pour contribuer à réduire l'écart entre la production et la consommation d'huile comestible, en particulier il pourrait être cultivé avec succès pendant la saison d'hiver dans les zones nouvellement récupérées et en dehors de l'ancienne vallée du Nil pour contourner la concurrence avec d'autres cultures occupées par l'ancienne zone cultivée. La consommation de l'huile n'est pas censée être nocive pour les humains et le bétail, elle est également utilisée comme source de biodiesel.Les plantations de colza en Egypte sont généralement infestées par divers insectes nuisibles, qui menacent le rendement. Les ravageurs les plus importants du point de vue économique sont un ensemble d'espèces de pucerons, notamment le puceron du chou, Brevicornae brassicae L ; le puceron du navet, Lipaphis erysimi (Kattenbach) et le puceron vert du pêcher, Myzus persicae Sulzer. Ces pucerons sont des ravageurs mondiaux des cultures de Brassica. Les nymphes et les adultes sucent la sève, ce qui entraîne une réduction de la chlorophylle, voire la mort de la plante. En outre, les pucerons tardifs peuvent transmettre certaines maladies virales importantes des plantes.
Autorenporträt
Prof. Dr. Mohamed Abdel-Raheem Ali Abdel-Raheem, Departamento de Protecção de Pragas e Plantas, Instituto de Investigação Agrícola e Biológica, Centro Nacional de Investigação, Cairo, Egipto. Assistente. Prof. Shahbaa Khalil Ebrahim AL-Taee, Patologia Veterinária, Departamento de Patologia e Doenças Avícolas, Faculdade de Medicina Veterinária, Universidade de Mosul, Mosul-Iraque.