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Il est substantiel de maintenir le niveau général des prix pour sauvegarder le pouvoir d'achat sans quoi la vie des acteurs suffoque. Dans un contexte précis, la Rdc subit plusieurs instabilités. Avec des dépenses parfois créant éviction sur le développement, il est important de veiller à la variation de chaque indice pouvant provoquer l'issue à une hémorragie monétaire.C'est ainsi, après une décennie de soupçons sur les déviations dans la gestion des deniers publics, nous avons pris part à vérifier empiriquement la relation existante entre le déficit budgétaire et le taux d'inflation, mais…mehr

Produktbeschreibung
Il est substantiel de maintenir le niveau général des prix pour sauvegarder le pouvoir d'achat sans quoi la vie des acteurs suffoque. Dans un contexte précis, la Rdc subit plusieurs instabilités. Avec des dépenses parfois créant éviction sur le développement, il est important de veiller à la variation de chaque indice pouvant provoquer l'issue à une hémorragie monétaire.C'est ainsi, après une décennie de soupçons sur les déviations dans la gestion des deniers publics, nous avons pris part à vérifier empiriquement la relation existante entre le déficit budgétaire et le taux d'inflation, mais aussi ce dernier avec les autres facteurs macroéconomiques. L'analyse des résultats de notre étude a relevé que le taux de change et la masse monétaire impactent positivement sur le niveau général de prix ; le crédit net à l'état impacte négativement le niveau général de prix ; tandis que le solde budgétaire n'impacte pas sur l'inflation.Ainsi, nous avons constaté qu'au-delà des facteurs monétaires, les facteurs réels affectent aussi le niveau général de prix.
Autorenporträt
Benjamin Langwemy, Bachelor of Science in Wirtschaftswissenschaften, Studiengang Monetäre Ökonomie der Université Protestante au Congo, Projektmanager und unabhängiger Forscher in Wirtschaftswissenschaften zu Währungs- und Finanzfragen.Sandrine Saidi, Bachelor of Arts in monetärer Ökonomie der Université Protestante au Congo.