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L'utilisation de pesticides dans l'agriculture pour lutter contre les ravageurs des cultures est en augmentation dans le monde entier. Toutefois, certains pesticides utilisés sont persistants dans l'environnement et toxiques pour les travailleurs. Plus de 60 % des travailleurs qui pulvérisent des pesticides dans les exploitations agricoles des pays en développement sont intoxiqués. L'évaluation des facteurs clés qui favorisent l'exposition des travailleurs aux pesticides, réalisée auprès des travailleurs agricoles du district de Machakos, au Kenya, a révélé que la plupart d'entre eux ne…mehr

Produktbeschreibung
L'utilisation de pesticides dans l'agriculture pour lutter contre les ravageurs des cultures est en augmentation dans le monde entier. Toutefois, certains pesticides utilisés sont persistants dans l'environnement et toxiques pour les travailleurs. Plus de 60 % des travailleurs qui pulvérisent des pesticides dans les exploitations agricoles des pays en développement sont intoxiqués. L'évaluation des facteurs clés qui favorisent l'exposition des travailleurs aux pesticides, réalisée auprès des travailleurs agricoles du district de Machakos, au Kenya, a révélé que la plupart d'entre eux ne pouvaient pas interpréter les instructions figurant sur l'étiquette en raison de leur faible niveau d'éducation. Ce facteur, combiné à leur attitude négative vis-à-vis de l'importance de l'utilisation de vêtements de protection, à leurs mauvaises pratiques d'hygiène lors de la manipulation de pesticides toxiques et à leur incapacité à se protéger lors de la pulvérisation, a grandement favorisé l'exposition, comme en témoignent les symptômes signalés après la pulvérisation. Les résultats soulignent la nécessité d'améliorer les connaissances, les attitudes et les pratiques des agriculteurs grâce à une formation régulière dispensée par des chercheurs et des vulgarisateurs agricoles.
Autorenporträt
Violet N.Momanyi, MSc : poursuit un doctorat en santé environnementale et professionnelle à l'université Kenyatta, au Kenya. Elle a étudié la santé publique, l'épidémiologie et la santé des populations à l'université de Maseno. Biologie appliquée à l'École polytechnique du Kenya. Chercheur à l'Organisation de recherche sur l'agriculture et l'élevage du Kenya, collaborant à divers projets de recherche.