56,99 €
inkl. MwSt.
Versandkostenfrei*
Versandfertig in 6-10 Tagen
payback
28 °P sammeln
  • Broschiertes Buch

Dans le cadre de la promotion d'une production bananière à moins d'intrants, une des principales alternatives à l'utilisation de nématicides chimiques repose sur l'usage raisonné en rotation, ou en association culturale de plantes de service à propriétés nématorégulatrices. Parmi les espèces candidates, celles du genre Crotalaria spp. ont largement été étudiées en raison de leur aptitude à contrôler les nématodes phytoparasites. Les exsudats racinaires de deux espèces de crotalaires ont ainsi été testées face à une espèce sensible, le bananier dessert, en fonction de conditions biotiques et…mehr

Produktbeschreibung
Dans le cadre de la promotion d'une production bananière à moins d'intrants, une des principales alternatives à l'utilisation de nématicides chimiques repose sur l'usage raisonné en rotation, ou en association culturale de plantes de service à propriétés nématorégulatrices. Parmi les espèces candidates, celles du genre Crotalaria spp. ont largement été étudiées en raison de leur aptitude à contrôler les nématodes phytoparasites. Les exsudats racinaires de deux espèces de crotalaires ont ainsi été testées face à une espèce sensible, le bananier dessert, en fonction de conditions biotiques et abiotiques variées. Les résultats obtenus en spectrophométrie visible montrent que la présence ou l'absence de nématodes affecte de manière importante les profils biochimiques des plantes étudiées. Les biotests réalisés ont permis de démontrer un effet nématostatique sur les nématodes testés. Les analyses biochimiques en GC-MS mettent en évidence de manière plus précise des molécules actives mises en jeu sous les différentes modalités. Ces recherches aideront, à terme, à définir les conditions environnementales à réunir, pour l'obtention optimale des effets nématorégulateurs recherchés.
Autorenporträt
Docteur en Sciences agronomiques et biotechnologies agro-alimentaires, Mylène L'etang est née le 10 janvier 1983 en Guadeloupe. Après l'obtention de son baccalauréat, elle parti en France pour y faire des études en bio-ingénierie du végétal, puis, son DESS en poche, retourne dans son île natale afin d'y mener ses travaux de recherche.