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Mary est l¿une de ces rencontres que mon entreprise numérique m¿a permises au fil du temps. Elle vit en Californie et nous ne sommes jamais rencontrées physiquement, pourtant, elle fait partie de cette famille élargie que le c¿ur embrasse. C¿est dans le cadre d¿un échange étudiant qüun jeune de ma famille s¿est retrouvé dans la sienne à Santa Clarita. À son retour, touché par son histoire, il m¿a confié le journal que Mary avait écrit pendant le traitement de son cancer du sein, à l'attention de ses proches et de sa famille. Dans un esprit de partage plus large, elle a accepté qu'il soit…mehr

Produktbeschreibung
Mary est l¿une de ces rencontres que mon entreprise numérique m¿a permises au fil du temps. Elle vit en Californie et nous ne sommes jamais rencontrées physiquement, pourtant, elle fait partie de cette famille élargie que le c¿ur embrasse. C¿est dans le cadre d¿un échange étudiant qüun jeune de ma famille s¿est retrouvé dans la sienne à Santa Clarita. À son retour, touché par son histoire, il m¿a confié le journal que Mary avait écrit pendant le traitement de son cancer du sein, à l'attention de ses proches et de sa famille. Dans un esprit de partage plus large, elle a accepté qu'il soit diffusé publiquement. Elle a guéri et aujourd¿hui, elle est vivante, elle va bien et elle vit toujours «une vie formidable» en Californie. J¿ai d¿abord édité son livre en anglais, puis je l'ai traduis en français car je crois fortement à l¿adage qui dit que les choses iraient bien mieux si on cessait de parler les uns des autres et qüon commençait à se parler. J¿ai eu envie conserver à cet ouvrage son allure de journal intime. Mary avait choisi un cahier avec une citation imprimée sur chaque page, je les ai conservées, la synchronicité avec ce qüelle écrivait étant quasi systématiquement troublante. Je place cette version originale en anglais après le texte français, juste pour le plaisir. (Patricia Eberlin)
Autorenporträt
Grasberger studierte Jus an der Universität Wien und arbeitete später für verschiedene Zeitungen (u. a. für die ¿Presse¿ und die ¿Wiener Zeitung¿). 1867 ging er als Korrespondent nach Rom, wo er Kunststudien betrieb und für die ¿Presse¿ Kunstkritiken verfasste. Er machte sich auch als Mundartdichter einen Namen und veröffentlichte zeitlebens einige Gedichtesammlungen in steirischer Mundart.[1] In seinem Stil wird Grasberger oft mit dem bekanntesten steirischen Dichter seiner Zeit, Peter Rosegger, verglichen. Er schrieb auch unter dem Pseudonym Carl (Karl) Birkenbühl. Hans Grasberger starb am 11. Dezember 1898 im Alter von 62 Jahren und wurde am Friedhof in Mödling, Niederösterreich beigesetzt.