26,99 €
inkl. MwSt.
Versandkostenfrei*
Versandfertig in 6-10 Tagen
payback
13 °P sammeln
  • Broschiertes Buch

Au Niger, l'importance des organisations paysannes (OP) a beaucoup accru avec la loi coopérative de 1996, régissant le système coopératif qui facilité leur émergence et leur développement. Nées dans un contexte complexe, caractérisé par le retrait de l'Etat du secteur agricole et la réticence des institutions financières (IF) à le financer, les OP rencontrent des difficultés financières majeures. Cette situation causée par les contraintes liées à l'activité agricole elle-même et la méfiance des IF, entraîne une forte dépendance des OP des partenaires financiers extérieurs. C'est la situation…mehr

Produktbeschreibung
Au Niger, l'importance des organisations paysannes (OP) a beaucoup accru avec la loi coopérative de 1996, régissant le système coopératif qui facilité leur émergence et leur développement. Nées dans un contexte complexe, caractérisé par le retrait de l'Etat du secteur agricole et la réticence des institutions financières (IF) à le financer, les OP rencontrent des difficultés financières majeures. Cette situation causée par les contraintes liées à l'activité agricole elle-même et la méfiance des IF, entraîne une forte dépendance des OP des partenaires financiers extérieurs. C'est la situation que vit la Fédération des Coopératives Maraîchères du Niger (FCMN-Niya), crée en 1996, à l'initiative de 11 coopératives maraîchères. Forte aujourd'hui de plus de 140 coopératives et unions de coopératives, la faîtière a développé des initiatives pour accroître sa capacité d'autofinancement restée depuis sa création à moins de 3% contre un financement de plus 96% par des ressources extérieures. Ce travail de mémoire de master 2 en Innovation et Développement en milieu rural, constitue une contribution à cette problématique de l'autonomisation financière des OP en Afrique de l'Ouest.
Autorenporträt
Makayaba Mabadjema nació en Siou, en el norte de Togo, en 1979. Con un bachillerato científico (Serie D) obtenido en 1999, se matriculó en la Universidad de Lomé, de la que se graduó en 2004 con un máster en sociología. Ocho años después, obtuvo un máster en innovación y desarrollo en zonas rurales en la Universidad de Uagadugú.