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Cette étude examine les dommages causés par le prohibitionnisme et la guerre sanglante contre la drogue, par rapport à la politique de réduction des risques, en analysant l'individu consommateur de drogue et les raisons qui l'ont amené à entrer en contact avec les stupéfiants. Cette étude montrera que la toxicomanie est actuellement une pathologie sociale, principalement due à l'absence de bonheur chez les gens et à la recherche du plaisir à tout prix, imposée par une société de consommation impitoyable et oppressive, qui impose des normes et un statut inaccessibles, ce qui finit par frustrer…mehr

Produktbeschreibung
Cette étude examine les dommages causés par le prohibitionnisme et la guerre sanglante contre la drogue, par rapport à la politique de réduction des risques, en analysant l'individu consommateur de drogue et les raisons qui l'ont amené à entrer en contact avec les stupéfiants. Cette étude montrera que la toxicomanie est actuellement une pathologie sociale, principalement due à l'absence de bonheur chez les gens et à la recherche du plaisir à tout prix, imposée par une société de consommation impitoyable et oppressive, qui impose des normes et un statut inaccessibles, ce qui finit par frustrer les individus, qui se tournent vers les drogues comme moyen d'échapper à la réalité oppressive. En analysant les effets de la drogue sur la violence et les taux de criminalité, il est possible de voir la relation étroite qui existe entre eux. La toxicomanie a un impact à la fois sur la société et sur le monde judiciaire. Face à l'ampleur des dégâts causés par le prohibitionnisme, des mesures de contrôle alternatives sont nécessaires, y compris les modèles de dépénalisation et de légalisation des drogues.
Autorenporträt
LUCAS GOMES DA SILVA est titulaire d'une licence en droit de l'université d'État du Mato Grosso do Sul (UEMS), d'une spécialisation en droits diffus et collectifs de l'UEMS, d'une spécialisation en gestion publique de l'université fédérale du Mato Grosso do Sul (UFMS) et d'un master en frontières et droits de l'homme de l'université fédérale de Grande Dourados (UFGD).