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A l'ère du BIG DATA, il apparaît de plus en plus évident comment un algorithme conditionnera chaque choix : ce sera un algorithme qui nous dira ce qui est " bien " et ce qui est " mal " et, même, ce même algorithme interviendra dans les relations sociales, en arrivant à être l'outil (" prédictif ") par excellence dans les décisions non seulement privées, mais aussi et surtout publiques. La numérisation est entrée dans l'AP à partir de 2005 et s'est progressivement développée jusqu'à être considérée comme l'outil privilégié de la gestion des activités administratives, étant incontestablement…mehr

Produktbeschreibung
A l'ère du BIG DATA, il apparaît de plus en plus évident comment un algorithme conditionnera chaque choix : ce sera un algorithme qui nous dira ce qui est " bien " et ce qui est " mal " et, même, ce même algorithme interviendra dans les relations sociales, en arrivant à être l'outil (" prédictif ") par excellence dans les décisions non seulement privées, mais aussi et surtout publiques. La numérisation est entrée dans l'AP à partir de 2005 et s'est progressivement développée jusqu'à être considérée comme l'outil privilégié de la gestion des activités administratives, étant incontestablement considérée avec faveur pour la facilitation de procédures parfois complexes et lourdes et le plus souvent répétitives, dans lesquelles la probabilité d'erreur humaine n'est certainement pas négligeable. Dans ce contexte, le juge administratif a progressivement tenté de réglementer l'utilisation des procédures robotisées, en élaborant un "décalogue" contenant les critères d'utilisation de l'algorithme, afin que celui-ci soit légitime et conforme aux principes du système juridique, le tout toutefois sur la fausse hypothèse d'une "neutralité algorithmique" qui, à défaut, ne peut que générer des inégalités décisionnelles et une incompréhensibilité motivationnelle.
Autorenporträt
Gianluca Checchini nasce a Roma il 1° agosto 1968 e, dopo il conseguimento di un diploma di laurea in giurisprudenza, approfondisce i suoi studi in informatica giuridica con il conseguimento di quattro master universitari e due dottorati di ricerca presso l'Università degli studi di Roma "La Sapienza". Attualmente è RAD in Sapienza.