5,99 €
inkl. MwSt.
Versandkostenfrei*
Versandfertig in 1-2 Wochen
payback
0 °P sammeln
  • Broschiertes Buch

Les affranchissements de la Guadeloupe sont publiés entre 1826 et avant mai 1848 dans les protocoles du Conseil de la Guadeloupe et le Bulletin officiel. La plupart des nouveaux citoyens s'inscrit à la mairie peu après et fait valoir ses droits comme citoyen. L'analyse de ces chiffres - quand-même 17.000 personnes - montre la migration de ces citoyens, leur occupation, leur entr'aide et leur futur apport à la société de l'île. La comparaison des patronymes des personnes à l'origine des affranchissements laisse penser que trois groupes aient existés : ceux qui ont affranchi tous leurs esclaves…mehr

Produktbeschreibung
Les affranchissements de la Guadeloupe sont publiés entre 1826 et avant mai 1848 dans les protocoles du Conseil de la Guadeloupe et le Bulletin officiel. La plupart des nouveaux citoyens s'inscrit à la mairie peu après et fait valoir ses droits comme citoyen. L'analyse de ces chiffres - quand-même 17.000 personnes - montre la migration de ces citoyens, leur occupation, leur entr'aide et leur futur apport à la société de l'île. La comparaison des patronymes des personnes à l'origine des affranchissements laisse penser que trois groupes aient existés : ceux qui ont affranchi tous leurs esclaves avant mai 1848, ou partiellement - ou pas du tout. L'étude permet à obtenir un aperçu de la société. Les observations seraient à croiser avec d'autres sources comme l'état-civil ou le notariat de l'île, le site REPAIRS pour les indemnités de mai 1848 et autres sources encore.
Autorenporträt
Sandra Willendorf, née en 1967. Enseignement commercial, études Arts et Français. Depuis toujours, elle s'intéresse à la région au Sud du Sahara et aux Antilles. Elle dévoile un secret de famille et découvre plus que 30 ans après qu'elle est descendante d'un Antillais. Parallèlement aux recherches pour "à la quête de la liberté" ou elle retrace le CV de son ancêtre, elle s'occupe d'un fichier d'affranchissements pour honorer les milliers d'esclaves de l'île qui n'ont pas de visage.