Étude : fréquence de l'application simultanée d'inhibiteurs du CYP3A
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L'objectif de cette étude est d'examiner empiriquement la fréquence de l'application simultanée d'inhibiteurs du CYP3A dans la routine clinique. La méthode choisie est une enquête rétrospective et anonymisée. L'analyse a donné les résultats suivants : 8,57% des journées de patients hospitalisés (27 sur 315) et 8,33% des patients (4 sur 48) ont été exposés à l'application simultanée d'inhibiteurs du CYP3A. La fréquence de l'administration simultanée d'inhibiteurs du CYP3A est remarquablement élevée dans le cas d'une LMA, puisque le nombre d'inhibiteurs du CYP3A administrés ...
L'objectif de cette étude est d'examiner empiriquement la fréquence de l'application simultanée d'inhibiteurs du CYP3A dans la routine clinique. La méthode choisie est une enquête rétrospective et anonymisée. L'analyse a donné les résultats suivants : 8,57% des journées de patients hospitalisés (27 sur 315) et 8,33% des patients (4 sur 48) ont été exposés à l'application simultanée d'inhibiteurs du CYP3A. La fréquence de l'administration simultanée d'inhibiteurs du CYP3A est remarquablement élevée dans le cas d'une LMA, puisque le nombre d'inhibiteurs du CYP3A administrés simultanément est supérieur à la moyenne, à savoir 0,379 par jour. En comparaison, les patients atteints de CBNPC n'ont reçu que 0,053 et les patients atteints de CBNPC que 0,091 inhibiteurs du CYP3A simultanément par jour.La suspicion selon laquelle les patients atteints de LAM ont une probabilité plus élevée que tous les autres patients de se voir administrer des inhibiteurs du CYP3A les jours d'hospitalisation a été examinée par le test d'hypothèse du Khi-carré ( ²), le coefficient Phi ( ) et l'indice V de Cramer (CI) et s'est avérée significative.
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