Liberté d'expression au Koweït
Le cas de deux écrivaines libérales koweïtiennes
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Le Koweït est une démocratie islamique où les citoyens jouissent partiellement d'un certain nombre de libertés. La société koweïtienne est connue pour être conservatrice avec un grand nombre de citoyens musulmans libéraux qui participent librement à la vie politique et sociale. La Constitution koweïtienne protège toutes sortes de libertés et de droits de l'homme mais avec des spécifications. Pourtant, les citoyens koweïtiens ne connaissent pas la notion de «liberté d'expression». Étonnamment, le système juridique koweïtien n'a pas de définition de la liberté d'expression...
Le Koweït est une démocratie islamique où les citoyens jouissent partiellement d'un certain nombre de libertés. La société koweïtienne est connue pour être conservatrice avec un grand nombre de citoyens musulmans libéraux qui participent librement à la vie politique et sociale. La Constitution koweïtienne protège toutes sortes de libertés et de droits de l'homme mais avec des spécifications. Pourtant, les citoyens koweïtiens ne connaissent pas la notion de «liberté d'expression». Étonnamment, le système juridique koweïtien n'a pas de définition de la liberté d'expression clairement spécifiée. Ainsi, l'imprécision de la liberté d'expression au Koweït est source de confusion pour l'autorité juridique lorsqu'elle traite des affaires de liberté d'expression. Le livre examine la liberté d'expression au Koweït en analysant le cas de deux auteurs koweïtiennes controversées qui ont été disputées entre les décisions des tribunaux, les hésitations des juges et les accusations acerbes de la société koweïtienne. Mme Laila Alothman et le Dr Alyaa Alshuaib ont souffert pendant 7 ans à cause d'un groupe d'islamistes islamistes qui ont affirmé que certaines des publications des auteurs étaient controversées.
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