Les mouches ectoparasites chez la roussette de Madagascar
Versandkostenfrei!
Versandfertig in 6-10 Tagen
23,99 €
inkl. MwSt.
PAYBACK Punkte
12 °P sammeln!
Les informations disponibles sur les ectoparasites des chauves-souris de Madagascar sont très pauvres. Cette étude a pour but d'identifier les mouches ectoparasites chez Rousettus madagascariensis, de déterminer la structure de leur population et d'établir la relation hôte-parasites. Les données sont collectées dans le Parc National d'Ankarana et la région d'Anjohibe. Deux espèces ont été identifiées, Eucampispoda madagascariensis (Nycteribiidae) et Megastrebla wenzeli (Streblidae). Les proportions des spécimens collectés sont largement dominées par E. madagascariensis par rappo...
Les informations disponibles sur les ectoparasites des chauves-souris de Madagascar sont très pauvres. Cette étude a pour but d'identifier les mouches ectoparasites chez Rousettus madagascariensis, de déterminer la structure de leur population et d'établir la relation hôte-parasites. Les données sont collectées dans le Parc National d'Ankarana et la région d'Anjohibe. Deux espèces ont été identifiées, Eucampispoda madagascariensis (Nycteribiidae) et Megastrebla wenzeli (Streblidae). Les proportions des spécimens collectés sont largement dominées par E. madagascariensis par rapport à M. wenzli pour les deux sites. Environ 75 % des femelles de mouches collectées sont gravides et le sex-ratio est en faveur des mâles pour E. madagascariensis. Le taux de parasitisme d'E. madagascariensis est plus élevé que celui de M. wenzeli et il semble que l'abondance des mouches est fonction de la superficie corporelle de l'hôte. Les mâles adultes de l'hôte sont les plus parasités par E. madagascariensis tandis que M. wenzeli se répartit aléatoirement dans la population hôte. Un autre aspect des résultats est la préférence des mouches sur les mâles de l'hôte à glande cervicale développée.
Andere Kunden interessierten sich für
