Infection par des trématodes dans les reins de Rana tigrina et leur histopathologie
Étude de l'infection par des trématodes digénétiques dans les reins de la grenouille Rana tigrina en relation avec leur histopathologie
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Les grenouilles sont largement utilisées dans la recherche médicale car elles sécrètent des substances à travers leur peau. Certaines sécrétions sont très utiles aux chercheurs en raison de la formation d'antibiotiques et d'analgésiques, mais certaines grenouilles sécrètent également une toxine si puissante que le simple fait de les toucher peut être fatal. Les grenouilles sont également des bio-indicateurs, elles sont très sensibles à la pollution et aux autres polluants présents dans l'eau. Les grenouilles sont également une source de nourriture dans certains pays. Presque ...
Les grenouilles sont largement utilisées dans la recherche médicale car elles sécrètent des substances à travers leur peau. Certaines sécrétions sont très utiles aux chercheurs en raison de la formation d'antibiotiques et d'analgésiques, mais certaines grenouilles sécrètent également une toxine si puissante que le simple fait de les toucher peut être fatal. Les grenouilles sont également des bio-indicateurs, elles sont très sensibles à la pollution et aux autres polluants présents dans l'eau. Les grenouilles sont également une source de nourriture dans certains pays. Presque toutes les grenouilles sont infestées par des parasites animaux de toutes sortes. Au Pakistan, on connaît actuellement 19 espèces appartenant à 4 familles, dont de nombreuses espèces de trématodes signalées chez les grenouilles du Pakistan et du monde entier. 53 spécimens de Rana tigrina ont été examinés au cours de l'étude, dont 17 se sont révélés infectés par des trématodes digénétiques, à savoir Diplodiscus amphichrus. Prosotocus confuses ; Mehraorchis ranarum ; Ganeo kumaonensis et Tremiorchis ranarum. Tous ont été prélevés dans l'intestin, tandis que G. kumaonersis a été prélevé dans l'estomac et l'intestin. Une microtomie du rein a été réalisée pour connaître les changements cellulaires dus à l'effet toxique de D. amphichrus, qui a révélé une atrophie, une formation kystique dans les glomérules et des foyers nécrotiques dans les régions corticale et médullaire.
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