
Comparer deux oeuvres patrimoniales dans la littérature de jeunesse
Regards croisés sur La série Le Petit Nicolas de Goscinny (France) et Les Aventures de Madjid de Morâdi-Kermâni (Iran)
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Malgré une histoire relativement courte, la littérature de jeunesse a déjà ses classiques : un certain nombre d'oeuvres éditoriales constitue un patrimoine qui reste vivace, qui continue à être lu par les nouvelles générations, qui nourrit, inspire des productions plus contemporaines. La notion de «patrimoine» a donc une pertinence et un sens particulier dans le domaine de «la littérature de jeunesse». C'est ce qui est exploré à partir d'une étude croisée de deux oeuvres, l'une française, l'autre iranienne, qui ont en commun l'humour et l'énonciation à la première personn...
Malgré une histoire relativement courte, la littérature de jeunesse a déjà ses classiques : un certain nombre d'oeuvres éditoriales constitue un patrimoine qui reste vivace, qui continue à être lu par les nouvelles générations, qui nourrit, inspire des productions plus contemporaines. La notion de «patrimoine» a donc une pertinence et un sens particulier dans le domaine de «la littérature de jeunesse». C'est ce qui est exploré à partir d'une étude croisée de deux oeuvres, l'une française, l'autre iranienne, qui ont en commun l'humour et l'énonciation à la première personne : Le Petit Nicolas de René Goscinny et Les Aventures de Madjid de Houchang Morâdi-Kermâni. Ces oeuvres patrimoniales sont considérées sous un triple point de vue : celui de leur réception nationale, de leur diffusion, de leur exploitation commerciale ; celui de leur valeur esthétique intrinsèque ; celui de leur réception dans des cultures différentes par le biais de la traduction, et donc de leur singularité et de leur universalité.