Boris Eltsine
Chronique des événements
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2000 : Journaux sur le départ du président Eltsine à la veille du Nouvel An et l'arrivée au pouvoir de Poutine : "Fini la file d'attente "déficitaire", la centralisation de tout et de rien, la censure. La guerre en Tchétchénie, la pauvreté lugubre de dizaines de millions de Russes, est un reproche sévère. Eltsine ne pouvait pas s'empêcher de connaître le pillage à grande échelle du pays, la corruption et la jonction du pouvoir et du crime. Non seulement les masses ordinaires, mais aussi les partisans des réformes pro-occidentales, ont tourné le dos au "garant de la Constitution...
2000 : Journaux sur le départ du président Eltsine à la veille du Nouvel An et l'arrivée au pouvoir de Poutine : "Fini la file d'attente "déficitaire", la centralisation de tout et de rien, la censure. La guerre en Tchétchénie, la pauvreté lugubre de dizaines de millions de Russes, est un reproche sévère. Eltsine ne pouvait pas s'empêcher de connaître le pillage à grande échelle du pays, la corruption et la jonction du pouvoir et du crime. Non seulement les masses ordinaires, mais aussi les partisans des réformes pro-occidentales, ont tourné le dos au "garant de la Constitution". Les principaux dirigeants du pays sous Eltsine, éternellement malade, étaient la "famille", les "oligarques" et les grands banquiers. 2006 : au Kremlin en l'honneur du 75e anniversaire de la naissance du premier président russe B. Eltsine. Le 1er février, une réception de gala a eu lieu au Kremlin pour célébrer le 75e anniversaire de la naissance du premier président russe d'Eltsine, où la plus haute élite russe s'est réunie et où les anciens dirigeants de certains pays sont arrivés. Le chef de l'État a évalué l'activité d'Eltsine de la manière suivante : "il a donné la liberté..." et les médias contrôlés par le Kremlin évaluent avec prudence l'activité du premier président russe : ni destructeur ni créateur.
