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La tomate est une culture d'importance capitale vu son rôle majeur dans l'alimentation, malheureusement elle est prédisposée aux attaques des maladies et des ravageurs. C'est dans cette optique la présente étude vise à évaluer l'efficacité des extraits de l'ail et du piment sur les pucerons verts de la tomate sur 3 variétés à savoir : variété locale, variété Roma et la variété Money- market. Un essai a été mis en place selon le modèle split-plot, disposant de trois variétés et deux pesticides comparés au traitement témoin. Ainsi le plan expérimental contenait neufs parcelles par bloc faisant…mehr

Produktbeschreibung
La tomate est une culture d'importance capitale vu son rôle majeur dans l'alimentation, malheureusement elle est prédisposée aux attaques des maladies et des ravageurs. C'est dans cette optique la présente étude vise à évaluer l'efficacité des extraits de l'ail et du piment sur les pucerons verts de la tomate sur 3 variétés à savoir : variété locale, variété Roma et la variété Money- market. Un essai a été mis en place selon le modèle split-plot, disposant de trois variétés et deux pesticides comparés au traitement témoin. Ainsi le plan expérimental contenait neufs parcelles par bloc faisant au total 27 parcelles pour trois répétitions. Les résultats ont révélés que les bio pesticides ont entrainés un taux de mortalité de 98,54% et % 99.6% respectivement pour l'extrait du piment et l'extrait de l'ail. Les observations relatives au rendement en t/ha dénotent que P1 et P2 entrainent un rendement élevé comparativement à P0 et ce, au niveau des toutes les trois variétés. Les parcelles traitées ont présenté des rendements de l'ordre de 53,2 t/ha pour P1 et 53,7 t/ha pour P2 pendant que sur les parcelles témoin, le rendement est de 13,8 t/ha.
Autorenporträt
Patrick HABAKARAMO, nacido en Idjwi, en Kivu del Sur (RDC), en 1984, es licenciado en Biología desde 2008. En 2017, obtuvo un máster en Ciencias Agronómicas en la Universidad de Parakou (Benín) con la máxima distinción. Desde marzo de 2010 imparte clases en la Universidad y trabaja como investigador en el Observatorio Vulcanológico del GOma.